D’autres animaux peuvent être dans les environs, comme les chats et chiens, vaches, chèvres, moutons et bien entendu les chevaux.
 

La basse-cour représente ou représentait un pilier majeur des exploitations familiales qui, en plus de ce qui est vendu à l’extérieur, produisent tout ou partie de la nourriture nécessaire au bien-être des occupants de la ferme.

La disparition de beaucoup d’entre elles, au profit d’élevages industriels, avec les questions que cela pose en terme de perte de biodiversité, de pollution et même dans certains cas de qualité, est dommageable pour l’environnement donc pour l’homme.

La basse-cour est un exemple d’élevage raisonné et durable qu’il faut préserver, l’homme ne prélevant que ce dont il a besoin tout en respectant ses animaux.

Quant l’être humain oublie le lien ancestral qui le lie à la Nature, il se met en grave danger…

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Si, à l’origine, le terme « basse-cour » désignait une zone de la ferme, il a évolué et définit à présent aussi et surtout les animaux qu’élève le paysan.

Traditionnellement, la basse-cour est composée de volailles, soit des poules, des canards, des dindes, des oies voire même des autruches, cailles, faisans, pintades et pigeons. Dans cette liste, les poules occupent généralement la première place car elles contribuent de plusieurs manières à l’économie paysanne. Quotidiennement avec leurs œufs et régulièrement avec leur viande.

Les autres volailles sont aussi élevées pour leurs œufs et leur viande mais de manière moins systématique.

Une basse-cour accueille souvent d’autres animaux comme les lapins qui intéressent le paysan pour leur viande et quelquefois aussi pour leur fourrure.

Ils sont accompagnés par les cochons qui, selon les pays et les traditions, sont souvent membres à part entière de la « basse-cour ».